Continuons à suivre le périple de Champollion en Teyvat dans cette troisième partie de son journal ! Au programme : une rencontre particulière avec une tribu Brutocollinus !
Journal de Champollion en Teyvat – Partie III
Alors que je me baladais dans la Vallée Dadaupa, je fis la rencontre d'une certain Ella Musk, une pionnière dans l'étude de la langue Brutocollinus.
Après une discussion de plusieurs heures autour de cette espèce plutôt singulière, elle me proposa une petite escapade dans un camp Brutocollinus pour pouvoir commencer à discuter avec eux, et ainsi pouvoir étayer mes recherches. Voici ce que j'ai pu retenir de cette langue particulièrement étrange !
Introduction
Les Brutocollinus ont une langue bien à eux : le Brutocollinus (original, non ?). Quelques mots et phrases ont déjà été déchiffrés avec succès en analysant les textes du jeu.
Le Brutocollinus est la langue la plus comprise de Teyvat. Contrairement à la plupart des autres dialectes, le Brutocollinus possède une phonologie des mots, des phrases et une grammaire distincte. Il est écrit à partir de l’alphabet latin que nous avons pu voir dans notre précédent article, mais il n’y aucune certitude sur l’origine écrite de la langue : est-ce une œuvre des Brutocollinus eux-mêmes ou alors de personnes tentant de traduire leur langage comme Jacob Musk ? Peut-être que l’avenir nous le dira.
Pour revenir à notre sujet principal, le Brutocollinus est un langage basique, respectant la forme SVC (Sujet-Verbe-Complément), même si la forme SCV (Sujet-Complément-Verbe) existe également.
Travail préparatoire
Pour pouvoir réussir à traduire certains mots et expressions Brutocollinus, il a fallu effectuer un travail de recherche et de compilation d’éléments entre le manga officiel, les livres « Anthologie de poèmes Brutocollinus », « Anthologie de la poésie Brutocollinus », également le « Manuel pratique du Brutocollinus », et enfin les missions quotidiennes relatives à Ella Musk.
L’une des clés de compréhension du langage Brutocollinus a été délivrée durant le deuxième stream officiel chinois, « Mondstadt Tea Party », où les deux phrases Mosi mita et Mosi gusha furent traduites par « Manger viande » et « Manger légumes », mais font allusion respectivement au bonheur et à la tristesse.
Pour l’instant, nous n’avons que très peu d’informations sur le langage Brutocollinus, et il faudra, sans doute, attendre d’autres conversations et ouvrages d’Ella Musk pour en découvrir un peu plus.
Pour l’heure, voici un lexique de mots communément utilisés chez nos amis les Brutocollinus !
Former le pluriel d'un mot
Le pluriel Brutocollinus est assez simple à mettre en place : il suffit simplement de dupliquer le mot. Par exemple, mi (qui signifie « je ») deviendra mimi (qui signifie « nous »).
Lexique Brutocollinus
Temps et direction
D’un point de vue temporel, les Brutocollinus rythment leur journée avec des périodes définies, ce qui se reflète dans leur façon de signifier le temps qui passe.
C’est pour les directions que tout se complique : les Brutocollinus ne possèdent pas de directions absolues, et n’utilisent pour s’orienter que les notions relatives de gauche, droite, avant et arrière. De plus, la perspective qu’ils utilisent lors de l’emploi de ces termes dépend de l’attitude qu’ils adoptent à votre égard : de votre point de vue s’ils sont amicaux, du leur si vous leur déplaisez.
La meilleure manière de procéder pour savoir où trouver quelque chose reste de prendre une carte et de leur poser cette question afin qu’ils vous indiquent l’emplacement directement dessus.
Le mot de la fin
Il ne pouvait pas y avoir de meilleure occasion que l’événement « Mimi tomo » pour décider de vous proposer cet article ! J’espère qu’il vous a plu, et à la prochaine pour un autre extrait du Journal de Champollion en Teyvat !
Rédaction : Deathmortus
Correction : Arline, APouloute
Sources : « Hilichurl Language Research (Translation from CN) »