Dans le bureau de Jean, dans le QG de l’Ordre de Favonius.
Le livre se situe dans l’étagère centrale.

Amis de Mondstadt, buvez !
À la liberté ! À l’Archon Anémo !
À Vennessa, le premier des chevaliers !
Enfants de Mondstadt, que le cadeau de Barbatos soit gravé dans vos cœurs, dans vos os !
Non. Le cadeau n’est pas la liberté, c’est le-résistance !

L’histoire débute dans un passé lointain.
Amis, pardonnez mon improvisation.
Car vous tous le savez, la gloire et la liberté de Mondstadt,
Naquirent au son de la lyre de Barbatos.
Toujours pour les héros s’élèvent les poèmes ;
Mais la liberté anonyme mérite un hommage plus grand.

Mondstadt ployait sous le joug des nobles ;
Leurs célébrations n’étaient que vanité ;
Une insulte à la face du peuple.
La cité semblait à une prison au vent ;
Le noble persécutait l’esclave,
Inconscient que sa propre geôle sur lui se refermait.

Dans une cellule, une demoiselle s’étiolait.
Des plaines du sud ses pieds l’avaient porté.
Née libre, elle était maintenant enchaînée.
Le tyran avait entravé sa chair ;
Mais don âme pure continuait de prier.
Pour son peuple, pour Mondstadt et pour la liberté.

Dans le bureau de Jean, dans le QG de l’Ordre de Favonius.
Le livre se situe dans l’étagère centrale.

Amis de Mondstadt, buvez !
Vint le jour où Barbatos répondit à ses prières.
Cherchant ses cheveux ardents, il descendit la retrouver.
« Tout être doit avoir un nom », dit l’esprit en souriant.
« J’écrirai une chanson pour le tien,
Et ne demande que ton amitié en retour. »
Avec plaisir, la jeune fille lui donna son consentement, et ses craintes se dissipèrent.

Et ainsi, marchant au son de la voix de Barbatos,
Elle vainquit le dragon destructeur ;
À cette vue, les aristocrates bouffis furent pris de terreur.
« Mondstadt est la liberté », chantèrent les vents au peuple.
Les brises solitaires des forêts se joignirent pour faire tomber la tour du tyran.
La jeune lionne, enfin libérée de ses chaînes, se tenait fière au milieu des vents.

Et c’est ainsi que la réputation de la jeune fille naquit.
Chantant aux côtés de l’Archon Anémo, son cœur débordait de gratitude.
Mais à ses mots de reconnaissance, Barbatos répondit :
« La chanson t’appartient, tu en es l’âme ;
Tu m’as confié ton amitié, ainsi que ton nom ;
Aussi chanté-je ta liberté. »

Compagnons d’ivresse, trinquons à nouveau !
Car ainsi coulent les flots de la liberté à Mondstadt.
Quand les jours deviennent nuits et que le désespoir emplit les cœurs,
Remémorez-vous Vennessa, l’héroïne aux cheveux de feu,
Et jamais ne cessez de poursuivre la liberté !

Mise en page : Deathmortus
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