Faruzan – Acte I : Inextricabilité

Dans ce guide, découvrons ensemble comment obtenir les différentes fins possibles de l’escapade de Faruzan, l’énigmatique machiniste !

Après avoir consommé 2× Clé des légendes pour débloquer son escapade, lancez la quête et allez dans un premier temps au Pardis Dhyai pour y retrouver… Tighnari !

Liste des fins possibles

Fin n°1 : Jardinière et pépinière

Pour commencer cette escapade, rendez-vous au Pardis Dhyai pour y trouver Tighnari en compagnie de Collei ! Ce dernier semble préoccupé par l’absence d’une mystérieuse aînée pour un projet. Cette personne se révèle être une certaine « Madame » Faruzan, qu’il attend maintenant depuis un moment. Vous arrivez pile à temps pour qu’il vous recrute pour l’aider. En compagnie de Collei, rendez-vous à l’Académie pour la rencontrer en personne et découvrir ce qui pourrait la retenir…

Vous trouvez cette dernière devant l’Académie, visiblement aux prises avec quelqu’un. Un problème de taille semble la retenir… Grâce à la présence de Collei, ne rate pas votre arrivée dans la conversation. La (pas si) jeune femme se voit face à une décision précipitée par l’impatience et la menace de faire remonter le sujet aux sages. Elle n’a pas le choix : elle va devoir choisir entre aider le Kshahrewar avec son projet ou donner un cours pour l’Haravatat.

Quoi qu’il en soit, il semblerait que le projet de Tighnari ne soit pas sa priorité actuelle. Pendant qu’elle réfléchit de son côté sur sa problématique actuelle, parlez à Collei.

Sélectionnez la réponse suivante :

« Aidons-la d’abord à résoudre son problème. »

Une fois ceci décidé, retournez voir Faruzan, qui cogite toujours. Faruzan semble satisfaite du fait que vous soyez prête à rester pour l’aider. Elle vous expose directement ses deux options.

Choisissez la réponse suivante :

« Dites-m’en plus sur cette collaboration avec le Kshahrewar… »

Vous en apprenez plus sur cette collaboration. Elle concerne le développement de jouets d’éveil pour les jeunes enfants ayant pour objectif de les intéresser à la recherche et de faire d’eux de futurs chercheurs plus tard. a été recommandée à l’artisan à l’origine de cette demande par une représentante du Kshahrewar qui l’admire.

Rendez-vous au Port Ormos pour y rencontrer Anis. Elle semble enjouée de voir Faruzan. En sa compagnie, allez discuter directement avec le personnel d’Artisanat Acara. Rapidement, la problématique se dessine sous vos yeux : il faut penser un design suffisamment simple pour les jeux pour qu’ils puissent être produits à bas coût et compréhensibles pour des enfants de tout âge, tout en restant enrichissants et bénéfiques pour leur apporter la curiosité souhaitée. En soi, des mécanismes à la conception simple, mais capables de remplir des fonctions complexes. Anis semble convaincue que est la personne parfaite pour réaliser une telle demande. Ni une ni deux, la chercheuse de haut rang s’exécute et fabrique un modèle.

Le principe est simple : trois tiges et des bandes de papier représentant des anneaux de tailles différentes pouvant s’empiler pour construire des tours. L’objectif en apparence simple est de déplacer ses tours d’une tige à l’autre tout en respectant des règles précises. Mamdouh ne semble pas convaincu par le niveau de difficulté du jeu. Il est temps pour les testeurs d’entrer en jeu !

Une fois ces derniers familiarisés avec les règles, Faruzan augmente la difficulté en renforçant ces règles. Cette fois-ci, la tour finale devra comprendre un étage de plus, puis deux de plus, pour le tour final. Alors que les testeurs entament ce dernier tour de jeu, vous demande de deviner en combien d’étapes minimum seront-ils capables de terminer. Choisissez la réponse correcte « 127 » pour obtenir le succès « Mécanique, de l’initiation à…? ».

Le jouet ayant convaincu le public attendu, se propose de réaliser un catalogue permettant de décider quel design final de jouet sera retenu. Avec l’aide d’Anis, elle se laisse deux jours pour réaliser ce catalogue.

Laissez Faruzan vous raccompagner à la sortie du Port. Dès qu’elle en aura fini avec ce projet, elle ira retrouver et au Pardis Dhyai.

Avant de vous laisser filer, elle vous exprime son hésitation quant à la forme à donner au contenu de son catalogue.

Choisissez alors l’option suivante :

« Essayez de rester simple et de rendre ça intéressant. »

Après quoi, patientez deux jours en jeu, puis retournez devant l’artisanat Acara pour y retrouver et son catalogue achevé. Vous êtes pile à l’heure pour assister à sa conférence. Celle-ci bat son plein, et le public est intéressé. Toutefois, reste embarrassée lorsqu’il est question de parler d’orientation au sein de l’Académie…

L’objectif a été rempli, et c’est avec une curiosité débordante que les plus jeunes écoutent avec plaisir leur parler de mécanismes en tout genre. Sur cette réussite, vous débloquez la première fin.

Fin n°2 : Connaissance est mère de richesse !

Pour accéder à cette fin, vous devez sélectionner le nœud intitulé « Session de questions ». Cela correspond au moment où Faruzan se proposait de vous raccompagner. Lorsqu’elle se questionne sur la forme que doit prendre son contenu, sélectionnez cette fois-ci la première option : « Essayez de faire en sorte que ça soit précis et détaillé. »

De nouveau, patientez deux jours et rendez-vous sur le lieu de la conférence.

Le discours très précis de donne à la conférence une ambiance très scolaire. Même vous, êtes perdu par tous ces grands mots techniques ! Sans surprise, impossible pour les plus jeunes d’accrocher. Et il en va de même pour le public plus âgé de la conférence. Cette dernière est un échec… Mais elle semble tout de même avoir réussi à capter l’œil d’un aventurier bien musclé, qui se présente comme le président de la Guilde des aventuriers de Sumeru : Kamal. Ces livres originellement pensés comme des présentations de jouets représentent à ses yeux un vrai trésor ! Après tout, ces dessins de mécanismes sont très détaillés et pourraient servir à plus d’un aventurier ! Finalement, peut-être que ce projet pourra se renouveler avec l’objectif nouveau de renforcer la sécurité lors d’expéditions dans les ruines ?

En tous cas, la somme proposée pour ce projet est sûre de ravir ! Vous débloquez ainsi la seconde fin.

Fin n°3 : Histoires du passé

Pour débloquer cette fin, retournez au nœud « Un problème « académique » ». Il s’agit du moment où vous parlez à à l’écart entre et son interlocutrice. Lors de cette première discussion, sélectionnez de nouveau l’option « Aidons-la d’abord à résoudre son problème ».

Une fois de retour face à et son dilemme, sélectionnez cette fois-ci la réponse suivante :

« Dites-m’en plus sur ce cours à l’Haravatat… »

Il s’agit du Darshan auquel appartenait Faruzan il y a 100 ans… Et auquel elle appartient encore aujourd’hui. Toutefois, son sujet de recherche ne semble pas intéresser la majorité des autres étudiants du Darshan. Elle vous décrit elle-même son sujet comme étant « l’interprétation et l’analyse de la composition des mécanismes des ruines à travers le déchiffrage des inscriptions gravées et des documents anciens découverts sur les sites de fouille ».

En gros, seule sa méthode de recherche est compréhensible aux yeux des étudiants de l’Haravatat… Car pour tout ce qui est question de mécanismes, ils n’y connaissent pas grand-chose. Clairement, ni ni eux ne veulent se retrouver dans une même salle de classe si c’est elle qui doit servir de professeur.

Mais elle doit tout de même se résoudre à donner un cours. La présence de Collei, toujours à vos côtés, vous donne alors une idée. Et si c’était à Collei qu’elle donnait un cours de lecture ? Elle n’est peut-être pas une étudiante de l’Académie, mais la connaissance est réservée à tous. L’arrogance seule de l’Académie d’autrefois ne vous empêchera pas de proposer cette idée de cours ouvert à tous. Sans attendre, Faruzan file faire valider cette idée.

Cela n’a pas l’air de ravir , qui est visiblement intimidée par l’enthousiasme de . Cette dernière vous retrouve rapidement, s’étant chargée d’échanger quelques mots avec des personnes haut placées de l’Académie. Votre idée d’éduquer le grand public a été validée (en grande partie grâce à la persuasion… ou pression de Faruzan). Plus que de la paperasse à compléter, et votre cours pourra commencer ! Objectif pédagogique : « maîtrise de la lecture et de l’écriture. ». Méthode d’apprentissage : diversifier les lectures. Ressources pédagogiques: …des romans légers ? En route pour l’étal de livres de la Rue des Trésors pour s’en procurer !

Il est temps pour de faire la découverte de ces romans populaires tout droit venus d’Inazuma. La logique implacable de la centenaire semble incompatible avec ce genre de récits. Faruzan est intéressée de savoir si le classique de son époque, les « Contes de Shahryar », est en boutique. Le bouquiniste ici présent ne l’a pas en stock, mais un antiquaire à l’autre bout de la Rue des Trésors l’aurait déjà mentionné. Enragée à l’idée qu’un tel chef d’œuvre ait pu tomber dans l’oubli à cause de l’Académie, file voir cet antiquaire sous les yeux affolés de Collei, terrifiée à l’idée qu’un livre vieux de cent ans puisse servir comme base à son cours.

Allez retrouver Faruzan devant l’antiquaire. Que Collei l’apprécie ou non, elle semble avoir dégotté sa ressource pédagogique : le cinquième tome des « Contes de Shahryar ». Malheureusement pour elle toutefois, aucun des autres tomes ne semble disponible… En feuilletant ce cinquième volume, Faruzan elle-même semble déçue de la tournure du scénario et de l’écriture des personnages qu’elle vantait originellement. Sa série préférée serait-elle à l’origine de sa propre disparition du cœur du public ? Rendez-vous au Café Puspa pour confirmer tout cela auprès de Maddah, un conteur amateur de bonnes histoires.

Avare de sa nouvellement trouvée popularité, il semblerait que l’auteur de la série ait cherché à faire durer son intrigue en y ajoutant en plus des clichés de l’époque. Immédiatement, le succès a cessé d’être au rendez-vous. Face à ces révélations, vous essayez de rassurer Faruzan avec l’aide de Collei. Le verdict reste clair en tout cas : les « Contes de Shahryar » ne représentent pas le meilleur choix de matériel pédagogique.

Pour l’apprentissage de , mieux vaut utiliser des livres qu’elle aime. Choisissez un nom pour votre cours. Après quoi, propose de retourner au premier stand pour se procurer un tome de cette série que Collei aimait – non sans mentionner qu’elle devra d’abord le lire en premier afin de l’analyser dans le cadre de la préparation de son cours. Embarrassée à l’idée de voir analyser en détail cet ouvrage, cherche à changer de sujet… Finalement, les histoires du passé ne sont pas si mal aussi, non ?

Écoutez les histoires de Maddah en compagnie de et de pour débloquer cette troisième fin.

Fin n°4 : « Bon retour parmi nous, Faruzan »

Une fois de plus, retournez au nœud « Un problème « académique » ». Cette fois-ci, sélectionnez la seconde option de réponse face à Collei :

« Il faut trouver un moyen pour qu’elle se libère et aille au Pardis Dhyai. »

Collei exprime son inquiétude face à cette proposition. Après tout, le problème de Tighnari concerne un sujet sensible aux yeux de l’Académie, et s’ils décident de venir chercher jusqu’au Pardis Dhyai, cela pourrait être problématique pour eux. Rapidement, vous rassurez Collei, et ensemble, vous retournez voir et son interlocutrice. Cette dernière n’a pas l’air décidée à la laisser filer avec vous, rappelant que sa deadline à elle est aujourd’hui. Vous utilisez la carte d’un projet académique en compagnie de pour espérer libérer Faruzan, mais Nadwah reste dubitative. Par chance, est maîtresse de la situation et elle trouve un (faux) sujet concret sans difficulté pour appuyer vos propos.

Sans plus attendre, retournez au Pardis Dhyai en compagnie de Faruzan. Vous y retrouvez Tighnari qui vous emmène auprès de… Karkata ! Comme vous avez peut-être déjà dû vous en douter, c’est pour lui que Tighnari a fait venir Faruzan. Quelque chose n’a pas l’air d’aller… Il semble malade, et Tighnari compte sur l’aide de Faruzan pour améliorer son état. Cette dernière a besoin d’un moment pour réfléchir. Laissez-la seule en compagnie de Karkata et allez discuter avec Tighnari en attendant d’avoir son retour. De sa bouche, vous en apprenez plus sur le passé de la mystérieuse machiniste, jusqu’à ce que Collei vienne vous prévenir qu’elle en a fini avec ses observations initiales. Retournez la voir.

Selon elle, le problème de Karkata semble venir de son module de régénération. Pour le réparer, il sera nécessaire de remplacer ses pièces endommagées. La difficulté toutefois sera de trouver par quoi les remplacer. Selon les dires de Tighnari, les pièces originelles utilisées pour la conception de Karkata pourraient venir du désert. Mais le désert est immense ! Peut être qu’une équipe de chercheurs partie l’explorer récemment pourrait vous aider à réduire votre zone de recherche ?

Laissez Tighnari et Collei en compagnie de Karkata et partez avec Faruzan en direction du nord-est du Désert hypostyle.

Sur place, vous tombez sur une carcasse désactivée d’un Dragon des ruines, gardée par un mercenaire érémite. Vous vous présentez comme venant de l’Académie, mais ce n’est pas suffisant pour faire bouger l’Érémite.

Plutôt que de perdre votre temps à attendre le chercheur, allez parler aux villageois alentours pour obtenir des informations sur les ruines. Après cela, faites le tri de ce que vous avez pu obtenir avec . Ici, sélectionnez :

« La machine de la légende… »

trouve cette épave étrange. Retournez voir le villageois bavard pour obtenir plus d’informations sur la légende du Rôdeur des ruines. Vous êtes interrompu dans votre discussion par l’arrivée du chercheur Raed. Ce dernier vous offre la possibilité de passer la nuit à son campement pour pouvoir regarder de plus près l’épave le lendemain. Rendez-vous à votre campement temporaire.

Faruzan vous confie ses soupçons concernant cette équipe d’expédition. Elle vous dit qu’elle pense que cette épave pourrait contenir un module de régénération comme celui que vous cherchez ! Comme le soupçonnait Faruzan, les membres de l’expédition ont attendu la nuit tombée pour agir. Vous pouvez les observer s’agiter sur le site d’excavation. Tandis que Faruzan fouille leur campement, rendez-vous au site d’excavation directement. Posez des questions pour gagner du temps jusqu’à ce que Faruzan puisse vous rejoindre… Pour vous ramener immédiatement au campement. Sa recherche a été fructueuse et elle a pu mettre la main sur leurs notes de recherche. La seule chose qu’elle ne comprend pas est la raison pour laquelle ils souhaitent cacher la découverte de cette épave, qui ne semble pas appartenir à la même époque que les ruines. Alors qu’elle termine de déchiffrer les dernières notes codées, le Rôdeur des ruines se réactive !

Toutefois, ce dernier vous ignore et continue à poursuivre l’équipe d’excavation, avant de finalement s’arrêter une fois de plus devant vous. Face à la réaction du chercheur, la vérité éclate alors de la bouche de . Cette expédition n’est qu’une opportunité pour lui de se faire de l’argent en revendant des reliques dans le dos de l’Académie.

Alors que le chercheur démasqué était sur le point de se retirer, le Rôdeur s’éveille une fois de plus… Et vient s’arrêter devant . Celle qu’il poursuivait, c’était elle. Le Rôdeur était en réalité Tamimi, le vieil ami mécanique de qui avait l’habitude de livrer son courrier. Suite à sa disparition, il aurait été modifié pour partir à sa recherche. Maintenant qu’il l’a retrouvée, il peut enfin se reposer.

vous demande de ne pas l’attendre et de retourner au Pardis Dhyai sans elle. Elle vous y retrouvera dans un second temps. Avant de partir, prenez le temps de lire l’ensemble des lettres que portait Tamimi à l’attention de Faruzan pour obtenir le succès « À toi, dans cent ans… ».

De retour au Pardis Dhyai, parlez à . Ici, vous pouvez choisir de dire ou non la vérité sur ce que vous avez pu observer. Choisissez :

« (Garder le secret au sujet de Tamimi…) »

Vous ne leur dévoilez ainsi qu’une partie de la vérité concernant la situation avec Raed. Après quoi, patientez un jour en jeu. Faruzan vous rejoint à son tour après s’être occupée de dénoncer Raed à l’Académie. Avec l’aide de Collei, elle répare Karkata. Sortez retrouver Faruzan pour lui parler. Elle vous remercie de ne pas avoir mentionné Tamimi, car ce sont ses pièces qui ont permis de réparer Karkata.

Allez faire quelques pas en sa compagnie sous la belle nuit du Pardis Dhyai pour débloquer cette nouvelle fin.

Fin n°5 : Un nouveau départ

Pour obtenir cette dernière fin, rendez-vous au nœud « L’heure du choix » et choisissez cette fois-ci de dire toute la vérité. Pour ce faire, choisissez :

« (Raconter toute la vérité…) »

De nouveau patientez un jour en jeu pour attendre le retour de Faruzan. Quand cette dernière propose de réparer Karkata avec les composants trouvés dans le désert, elle ne peut pas manquer leurs visages tristes. Elle rassure tout le monde en leur disant qu’elle garde espoir de pouvoir un jour réparer Tamimi.

« Bon retour, Tamimi. » Sur cette promesse et solution optimale, il est temps de réparer Karkata avec le sourire, et pour vous de débloquer cette dernière fin, ainsi qu’un nouveau succès.